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08/01/2016
La Bulgarie, une histoire de revanches…
Avec deux victoires face à la Russie et la Finlande, la France a idéalement attaqué le Tournoi de qualification olympique de Berlin. Pour décrocher sa place en demi-finale ce vendredi, elle doit prendre au moins un set à la Bulgarie, une équipe qui l’avait éliminée des Jeux il y quatre ans.
Une nouvelle fois auteur d’un gros match défensif, Jenia Grebennikov ne cachait pas jeudi soir, sitôt la victoire face à la Finlande entérinée (25-21, 25-20, 25-16), sa satisfaction de s’être évité une rencontre trop rude: "On était favoris, il fallait gagner, si possible en trois sets, rester concentrés parce que la Finlande n’avait plus rien à perdre. On s’est fait un peu peur au deuxième set, on aurait pu être plus sérieux, mais on a bien géré le match, on a fait le travail, personne n’est blessé, tout va bien." Trois sets, aucun blessé et la première place provisoire de la Poule B en attendant le dernier match de ce vendredi (17h, en direct sur L’Equipe 21), tous les voyants sont au vert pour les Bleus qui n’ont besoin que d’un set face aux Bulgares pour décrocher leur qualification pour les demi-finales du Tournoi de qualification olympique.
Des Bulgares contre lesquels existe une vraie rivalité, puisque ce sont eux qui, il y a quatre ans, avaient coupé la route de Londres à l’équipe de France, alors dirigée par Philippe Blain. "C’est un souvenir qui m’a marqué, j’étais dans le groupe mais pas sur le terrain, j’ai envie de les éliminer à leur tour", n’a pas oublié Jenia Grebennikov. Sur ce match, la Bulgarie joue la qualif, ça va être chaud pour eux, parce qu’on les attend de pied ferme, on a envie de les battre encore et de montrer que la France est meilleure que la Bulgarie. Si un set suffit, on gagnera un set, on gagnera même le match !" Au côté du joueur de Macerata, le capitaine Benjamin Toniutti, un poil moins vengeur, ajoutait: "C’est du passé, ce ne sont pas les mêmes joueurs aujourd’hui, pas le même entraîneur. On les a battus deux fois en 2015, eux vont être revanchards, mais si nous, de notre côté, on peut les écarter des JO, ce serait bien. Et ce match est aussi l’occasion de bien préparer la demi-finale si on y va."
Le sentiment de revanche sera donc assez partagé au coup d’envoi de ce France-Bulgarie dans la Max Schmeling Halle, notamment parmi les partenaires du pointu lyonnais Vladimir Nikolov qui n’ont pas oublié les deux gifles que les champions d’Europe leur ont infligées chez eux en 2015, en juillet à Varna en finale du Final Four (Groupe 2) de la Ligue Mondiale (0-3), puis le 17 octobre en demi-finale de l’Euro à Sofia (2-3). "Ils ne parlent que de ça", soulignait d’ailleurs le sélectionneur à l’orée de l’entrée de ses joueurs dans ce TQO, ajoutant jeudi, après la victoire face aux Finlandais: "Les Bulgares ont pris une raclée ce soir (0-3 contre la Russie, ndlr), ils vont aborder le match le couteau entre les dents, ils ont beaucoup de revanches à prendre sur nous…" En écho, Kevin Le Roux, impressionnant jeudi dans le troisième set, concluait: "J’imagine qu’ils sont motivés, d’autant que les Russes les ont un peu énervés, mais on va faire le taf…"
Des Bulgares contre lesquels existe une vraie rivalité, puisque ce sont eux qui, il y a quatre ans, avaient coupé la route de Londres à l’équipe de France, alors dirigée par Philippe Blain. "C’est un souvenir qui m’a marqué, j’étais dans le groupe mais pas sur le terrain, j’ai envie de les éliminer à leur tour", n’a pas oublié Jenia Grebennikov. Sur ce match, la Bulgarie joue la qualif, ça va être chaud pour eux, parce qu’on les attend de pied ferme, on a envie de les battre encore et de montrer que la France est meilleure que la Bulgarie. Si un set suffit, on gagnera un set, on gagnera même le match !" Au côté du joueur de Macerata, le capitaine Benjamin Toniutti, un poil moins vengeur, ajoutait: "C’est du passé, ce ne sont pas les mêmes joueurs aujourd’hui, pas le même entraîneur. On les a battus deux fois en 2015, eux vont être revanchards, mais si nous, de notre côté, on peut les écarter des JO, ce serait bien. Et ce match est aussi l’occasion de bien préparer la demi-finale si on y va."
Le sentiment de revanche sera donc assez partagé au coup d’envoi de ce France-Bulgarie dans la Max Schmeling Halle, notamment parmi les partenaires du pointu lyonnais Vladimir Nikolov qui n’ont pas oublié les deux gifles que les champions d’Europe leur ont infligées chez eux en 2015, en juillet à Varna en finale du Final Four (Groupe 2) de la Ligue Mondiale (0-3), puis le 17 octobre en demi-finale de l’Euro à Sofia (2-3). "Ils ne parlent que de ça", soulignait d’ailleurs le sélectionneur à l’orée de l’entrée de ses joueurs dans ce TQO, ajoutant jeudi, après la victoire face aux Finlandais: "Les Bulgares ont pris une raclée ce soir (0-3 contre la Russie, ndlr), ils vont aborder le match le couteau entre les dents, ils ont beaucoup de revanches à prendre sur nous…" En écho, Kevin Le Roux, impressionnant jeudi dans le troisième set, concluait: "J’imagine qu’ils sont motivés, d’autant que les Russes les ont un peu énervés, mais on va faire le taf…"