HOME
| Actualités FFvolley | ||
| Voir tout | ||
JO: Rowlandson/Krou, la dernière ligne droite
Lancés depuis le début de l’année dans la course à la qualification olympique, Edouard Rowlandson et Youssef Krou abordent le sprint final, avec trois tournois décisifs à venir, dont le Grand Chelem de Moscou dès mardi. Leur entraîneur Stéphane Canet fait le point.
Alors que c’est le 13 juin que seront connus les qualifiés pour les Jeux Olympiques via le ranking olympique - les 17 premiers, sachant qu’il existe deux quotas maximum par pays -, la situation d’Edouard Rowlandson et de Youssef Krou est la suivante : les Français occupent le 20e rang, à la lutte pour une place dans les 17 avec les paires allemandes Böckermann/Flüggen et Erdmann/Matysik (16e et 17e), les Mexicains Virgen/Ontiveros (18e) et les Canadiens Binstock/Schachter (19e). Trois tournois restent à jouer avant la date couperet : un Grand Chelem comptant double par rapport à un Open World Tour, cette semaine à Moscou (24-29 mai), le Championnat d’Europe de Biel/Bienne, en Suisse (1er-5 juin), qui vaut un World Tour, et le Major Series de Hambourg (7-12 juin), équivalent d’un Grand Chelem en points distribués .
Trois tournois sur lesquels les n°1 tricolores doivent absolument réussir de gros résultats, tout en misant sur des contre-performances de leurs rivaux. "Il faut atteindre des demi-finales sur ces tournois, estime Stéphane Canet, le coach de l’équipe de France. Celui qui fait un bon résultat sur le Grand Chelem de Moscou ou à Hambourg aura son destin entre les mains, l’heure est venue ! Nous sommes dans l’action, tout le travail des deux dernières années doit porter ses fruits sur ces trois semaines. Certes, il y aura encore la Continental Cup derrière pour espérer se qualifier, mais tant qu’Edouard et Youssef sont encore mathématiquement en course au classement, ils doivent se concentrer là-dessus à 100%. Nous nous étions préparés à une telle fin de parcours, on a vu beaucoup d’équipes se qualifier sur le dernier tournoi, c’est notre plan."
Les deux Français, qui ont beaucoup joué depuis le début de la saison, ont pu décompresser un peu la semaine dernière dans leur fief de Montpellier, avant de s’envoler pour la Russie avec un staff renforcé, composé, outre de Stéphane Canet, de son adjoint Vincent Poiroux, d’un kiné, Laurent Delrieu, et du Directeur Technique National de la Fédération Française de Volley-Ball, Cyrille Boulongne-Evtouchenko. "Nous sommes en ordre de bataille pour affronter ces trois dernières semaines avec le maximum de chances de nos côtés", ajoute Stéphane Canet.
Pour le coach, Youssef et Edouard ne doivent pas se poser de questions: "Ils sont en position d’outsiders, cela veut dire qu’ils n’ont pas la pression de ceux qui sont 16e ou 17e et qui ont tout à perdre, cette situation de challengers leur convient bien. Au niveau du jeu, il faut qu’ils essaient de faire durer l’échange, de développer leur jeu en mouvement et de faire bouger les grands contreurs adverses." Une stratégie à mettre en place dès mardi, puisque les Français, une fois n’est pas coutume, débutent le Grand Chelem moscovite en qualifications, têtes de série n°2 du tableau, ce qui les obligera à gagner deux matches pour intégrer le main draw et poursuivre leur rêve olympique…
Trois tournois sur lesquels les n°1 tricolores doivent absolument réussir de gros résultats, tout en misant sur des contre-performances de leurs rivaux. "Il faut atteindre des demi-finales sur ces tournois, estime Stéphane Canet, le coach de l’équipe de France. Celui qui fait un bon résultat sur le Grand Chelem de Moscou ou à Hambourg aura son destin entre les mains, l’heure est venue ! Nous sommes dans l’action, tout le travail des deux dernières années doit porter ses fruits sur ces trois semaines. Certes, il y aura encore la Continental Cup derrière pour espérer se qualifier, mais tant qu’Edouard et Youssef sont encore mathématiquement en course au classement, ils doivent se concentrer là-dessus à 100%. Nous nous étions préparés à une telle fin de parcours, on a vu beaucoup d’équipes se qualifier sur le dernier tournoi, c’est notre plan."
Les deux Français, qui ont beaucoup joué depuis le début de la saison, ont pu décompresser un peu la semaine dernière dans leur fief de Montpellier, avant de s’envoler pour la Russie avec un staff renforcé, composé, outre de Stéphane Canet, de son adjoint Vincent Poiroux, d’un kiné, Laurent Delrieu, et du Directeur Technique National de la Fédération Française de Volley-Ball, Cyrille Boulongne-Evtouchenko. "Nous sommes en ordre de bataille pour affronter ces trois dernières semaines avec le maximum de chances de nos côtés", ajoute Stéphane Canet.
Pour le coach, Youssef et Edouard ne doivent pas se poser de questions: "Ils sont en position d’outsiders, cela veut dire qu’ils n’ont pas la pression de ceux qui sont 16e ou 17e et qui ont tout à perdre, cette situation de challengers leur convient bien. Au niveau du jeu, il faut qu’ils essaient de faire durer l’échange, de développer leur jeu en mouvement et de faire bouger les grands contreurs adverses." Une stratégie à mettre en place dès mardi, puisque les Français, une fois n’est pas coutume, débutent le Grand Chelem moscovite en qualifications, têtes de série n°2 du tableau, ce qui les obligera à gagner deux matches pour intégrer le main draw et poursuivre leur rêve olympique…
.png){kind=small}
.jpg)
