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02/06/2016
Ligue Européenne : Les Bleues ambitieuses
L’équipe de France féminine dispute en fin de semaine le tournoi aller du tour final de la Ligue Européenne 2016 à Bar (Monténégro). Les Bleues affrontent successivement l’Azerbaïdjan, l’Espagne et le Monténégro avant de recevoir le tournoi retour une semaine plus tard à Rennes.
De retour dans le concert européen après une année de transition, l’équipe de France aborde la Ligue Européenne 2016 avec envie et ambition. Envie d’abord, puisque le groupe de Magali Magail a connu deux dernières saisons difficiles, avec peu de matches et encore moins de victoires, un certain nombre de joueuses expérimentées ayant pris du recul avec la sélection, certaines par choix, d’autres à cause de blessures. Ambition ensuite, puisque cette équipe de France, qui s’est idéalement préparée en battant deux fois la Hongrie il y a deux semaines, a indéniablement un potentiel qui ne demande qu’à se développer.
Les jeunes lancées dans le grand bain international la saison dernière ont une saison de plus dans les jambes, la plupart en tant que titulaires en club (Clémentine Druenne, Alexandra Dascalu, Héléna Cazaute, Elisabeth Fedele, Astrid Souply, Tiphaine Sevin, Nina Stojilkovic), tandis que les quelques anciennes (Alexandra Rochelle, Isaline Sager-Weider, Laurianne Delabarre) tiennent parfaitement leur rôle de «grandes sœurs», de nouveau rejointes cette année par la star de cette équipe de France, la grande centrale de Piacenza, Christina Bauer. Conscientes de l’opportunité qui leur est de nouveau offerte par la Fédération Française de Volley-Ball, qui a débloqué des moyens pour cela, de s’exprimer sur la scène internationale, les Françaises veulent en profiter sur cette Ligue Européenne qui leur sert de préparation en vue de leur grand objectif de la saison, la qualification pour le Championnat d’Europe 2017 (qui se disputera en septembre).
Objectif demi-finales
"C’est très important pour nous de jouer cette Ligue Européenne de nouveau, parce que ces confrontations internationales nous permettent d’emmagasiner de l’expérience et d’enchaîner les matches à enjeu. Cette jeune génération en a non seulement besoin, mais elle a également la volonté de bien faire", confirme Magali Magail, avant d’ajouter: "L’objectif affiché, celui que la Fédération nous a fixé, c’est de nous qualifier pour les demi-finales. Après, nous savons très bien que ce ne sera pas facile, puisqu’il faudra terminer en tête de notre poule." Effectivement, pour se qualifier pour les demi-finales, la France doit terminer première (le meilleur deuxième des trois poules sera aussi dans le dernier carré) d’une poule composée de l’Azerbaïdjan, de l’Espagne et du Monténégro. La compétition se déroule sous la forme d’un mini-championnat avec phase aller, au cours de laquelle chaque équipe s’affronte une fois, ce week-end à Bar (Monténégro), phase retour le suivant à Rennes.
"Notre poule n’est pas évidente, poursuit la sélectionneuse. A priori, le gros morceau, c’est l’Azerbaïdjan, qui a disputé le dernier Championnat d’Europe, contrairement à nous. C’est une équipe haute et puissante. Le Monténégro est une formation encore assez jeune mais qui a de très bonnes individualités, tandis que l’Espagne semble légèrement en dessous." C’est donc par le "gros morceau", 11e au classement européen, que les Bleues attaquent la compétition vendredi, avant d’enchaîner samedi par l’Espagne et dimanche par le Monténégro.
Les jeunes lancées dans le grand bain international la saison dernière ont une saison de plus dans les jambes, la plupart en tant que titulaires en club (Clémentine Druenne, Alexandra Dascalu, Héléna Cazaute, Elisabeth Fedele, Astrid Souply, Tiphaine Sevin, Nina Stojilkovic), tandis que les quelques anciennes (Alexandra Rochelle, Isaline Sager-Weider, Laurianne Delabarre) tiennent parfaitement leur rôle de «grandes sœurs», de nouveau rejointes cette année par la star de cette équipe de France, la grande centrale de Piacenza, Christina Bauer. Conscientes de l’opportunité qui leur est de nouveau offerte par la Fédération Française de Volley-Ball, qui a débloqué des moyens pour cela, de s’exprimer sur la scène internationale, les Françaises veulent en profiter sur cette Ligue Européenne qui leur sert de préparation en vue de leur grand objectif de la saison, la qualification pour le Championnat d’Europe 2017 (qui se disputera en septembre).
Objectif demi-finales
"C’est très important pour nous de jouer cette Ligue Européenne de nouveau, parce que ces confrontations internationales nous permettent d’emmagasiner de l’expérience et d’enchaîner les matches à enjeu. Cette jeune génération en a non seulement besoin, mais elle a également la volonté de bien faire", confirme Magali Magail, avant d’ajouter: "L’objectif affiché, celui que la Fédération nous a fixé, c’est de nous qualifier pour les demi-finales. Après, nous savons très bien que ce ne sera pas facile, puisqu’il faudra terminer en tête de notre poule." Effectivement, pour se qualifier pour les demi-finales, la France doit terminer première (le meilleur deuxième des trois poules sera aussi dans le dernier carré) d’une poule composée de l’Azerbaïdjan, de l’Espagne et du Monténégro. La compétition se déroule sous la forme d’un mini-championnat avec phase aller, au cours de laquelle chaque équipe s’affronte une fois, ce week-end à Bar (Monténégro), phase retour le suivant à Rennes.
"Notre poule n’est pas évidente, poursuit la sélectionneuse. A priori, le gros morceau, c’est l’Azerbaïdjan, qui a disputé le dernier Championnat d’Europe, contrairement à nous. C’est une équipe haute et puissante. Le Monténégro est une formation encore assez jeune mais qui a de très bonnes individualités, tandis que l’Espagne semble légèrement en dessous." C’est donc par le "gros morceau", 11e au classement européen, que les Bleues attaquent la compétition vendredi, avant d’enchaîner samedi par l’Espagne et dimanche par le Monténégro.