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07/05/2016
LAM: Rossard et Lafitte calent en finale
Le Paris Volley a conquis ce samedi son neuvième titre de champion de France après avoir nettement battu Sète (3-0) en finale de Ligue A masculine. Une déception pour les internationaux Thibault Rossard et Franck Lafitte.
Après Chaumont et Tours, le Paris Volley a épinglé Sète, samedi, en finale du Championnat de France, concluant merveilleusement des play-offs au cours desquels ils auront successivement battu les troisièmes, deuxièmes puis premiers de la phase régulière. Contre la meilleure équipe de la saison, un Arago motivé comme jamais pour décrocher le premier titre de Ligue A masculine de son histoire, les Parisiens se sont montrés intraitables, s'imposant en trois sets secs (25-20, 28-26, 25-23) face à des Héraultais impuissants.
Thibault Rossard et Franck Lafitte n'imiteront ainsi pas leurs coéquipiers de l'équipe de France, Nicolas Le Goff (Berlin), Benjamin Toniutti et Kevin Tillie (Kedzierzyn-Kozle), ainsi que Kevin Le Roux (Ankara), récemment sacrés dans leurs championnats respectifs, tandis que Earvin Ngapeth se trouve à un match du titre avec Modène. Les compères sétois ne sont pas parvenus à trouver la clé pour contrer la puissance parisienne et quitteront la capitale avec les regrets d'une saison inachevée. Quant au Paris Volley, avec neuf titres, il se place sur la plus haute marche au palmarès, à côté de Cannes, du Racing Club de France et du PUC auquel il avait succédé.
Thibault Rossard et Franck Lafitte n'imiteront ainsi pas leurs coéquipiers de l'équipe de France, Nicolas Le Goff (Berlin), Benjamin Toniutti et Kevin Tillie (Kedzierzyn-Kozle), ainsi que Kevin Le Roux (Ankara), récemment sacrés dans leurs championnats respectifs, tandis que Earvin Ngapeth se trouve à un match du titre avec Modène. Les compères sétois ne sont pas parvenus à trouver la clé pour contrer la puissance parisienne et quitteront la capitale avec les regrets d'une saison inachevée. Quant au Paris Volley, avec neuf titres, il se place sur la plus haute marche au palmarès, à côté de Cannes, du Racing Club de France et du PUC auquel il avait succédé.
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