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12/06/2018
Ligue Européenne: Les Bleues terminent par une défaite
Après deux succès au tie-break contre l'Espagne et le Monténégro, l'équipe de France a logiquement cédé contre l'Azerbaïdjan (25-13, 25-23, 25-15), dimanche à Rennes, pour sa dernière rencontre en Ligue Européenne.
Pas de miracle pour les Bleues ! Si les victoires arrachées au tie-break contre l'Espagne et le Monténégro leur avaient donné beaucoup de confiance, les joueuses de Magali Magail n'ont rien pu faire contre l'Azerbaïdjan, dimanche à Rennes, pour leur dernière sortie en Ligue Européenne. Face à "l'équipe la plus forte du groupe, avec des grands noms du volley" (dixit Magail), qui a d'ailleurs réalisé un carton plein dans ce groupe (18 points sur 18 possibles), les Françaises ont cédé en trois manches (25-13, 25-23, 25-15).
Après un premier acte difficile, les Bleues ont réalisé un très bon deuxième set. Emmenées notamment par Héléna Cazaute et Alexandra Dascalu (12 points), elles ont même mené 18-12 avant de subir de plein fouet la réaction d'orgueil de leurs adversaires, et notamment de l'impressionnante Polina Rahimova (22 points à 61% de réussite en attaque). Malgré le soutien de la salle Colette-Besson, les Tricolores ne pourront pas rivaliser dans le troisième set, perdu 25-15, et glissent à la troisième place du groupe derrière l'Espagne, au ratio de sets.
"Ce n'était pas évident, a confié Nina Stojiljkovic sur Eurosport. Il fallait qu'on joue au maximum de notre capacité pour les vaincre. On y est allées à fond chaque fois. Mais au niveau service-réception, on a été dominées. Elles étaient présentes au bloc, c'était compliqué." Mais pour la passeuse tricolore, il y a du positif à retenir. "Il y a une progression par rapport au premier week-end (au Montenegro). On est plus stables." Ce que confirme Héléna Cazaute: "On a appris. C'est contre ces équipes-là qu'on espère rivaliser. Il faut garder ces matches en mémoire et travailler là-dessus. On a encore de la marge pour progresser. Cela ne fait qu'un mois qu'on est ensemble."
Même constat du côté de Magali Magail, qui reconnaît que l'Azerbaïdjan était "trop forte" pour les Bleues, mais qui retient le progrès de ses joueuses sur ce week-end rennais. "On avait perdu deux matches au tie-break au Montenegro, cette fois on les a gagnés. On a avancé. On pose les fondations de cette équipe. Il faut continuer à avancer, sans brûler les étapes. Le plus important, c'est le travail et l'investissement des joueuses." Les Bleues vont maintenant se quitter quelques semaines avant de se retrouver début août pour préparer le véritable objectif de leur été, les qualifications pour le championnat d'Europe en septembre.
Après un premier acte difficile, les Bleues ont réalisé un très bon deuxième set. Emmenées notamment par Héléna Cazaute et Alexandra Dascalu (12 points), elles ont même mené 18-12 avant de subir de plein fouet la réaction d'orgueil de leurs adversaires, et notamment de l'impressionnante Polina Rahimova (22 points à 61% de réussite en attaque). Malgré le soutien de la salle Colette-Besson, les Tricolores ne pourront pas rivaliser dans le troisième set, perdu 25-15, et glissent à la troisième place du groupe derrière l'Espagne, au ratio de sets.
"Ce n'était pas évident, a confié Nina Stojiljkovic sur Eurosport. Il fallait qu'on joue au maximum de notre capacité pour les vaincre. On y est allées à fond chaque fois. Mais au niveau service-réception, on a été dominées. Elles étaient présentes au bloc, c'était compliqué." Mais pour la passeuse tricolore, il y a du positif à retenir. "Il y a une progression par rapport au premier week-end (au Montenegro). On est plus stables." Ce que confirme Héléna Cazaute: "On a appris. C'est contre ces équipes-là qu'on espère rivaliser. Il faut garder ces matches en mémoire et travailler là-dessus. On a encore de la marge pour progresser. Cela ne fait qu'un mois qu'on est ensemble."
Même constat du côté de Magali Magail, qui reconnaît que l'Azerbaïdjan était "trop forte" pour les Bleues, mais qui retient le progrès de ses joueuses sur ce week-end rennais. "On avait perdu deux matches au tie-break au Montenegro, cette fois on les a gagnés. On a avancé. On pose les fondations de cette équipe. Il faut continuer à avancer, sans brûler les étapes. Le plus important, c'est le travail et l'investissement des joueuses." Les Bleues vont maintenant se quitter quelques semaines avant de se retrouver début août pour préparer le véritable objectif de leur été, les qualifications pour le championnat d'Europe en septembre.