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Photo : FFVolley
24/05/2018
Volleyball Nations League : Les Bleus veulent briller à Rouen
L’équipe de France dispute vendredi son premier match officiel de la saison en affrontant l’Iran au Kindarena de Rouen en ouverture de la nouvelle Volleyball Nations League. Une compétition que les Bleus abordent avec une forte envie de bien faire devant leur public.
Réunis depuis le 17 mai à Rouen, les joueurs de l’équipe de France, dont certains avaient déjà effectué un premier stage à Montpellier, sont au complet depuis mardi et les arrivées en Normandie de Benjamin Toniutti et Jenia Grebennikov qui avaient achevé leur saison en club plus tard que les autres, puisqu’ils avaient disputé le Final Four de la Ligue des champions. Confortablement installés dans un magnifique établissement du centre-ville, les joueurs de Laurent Tillie préparent leur entrée dans la nouvelle Volleyball Nations League, vendredi au Kindarena, dans une apparente sérénité. "Nous sommes dans un très bel hôtel, une très belle ville, le Kindarena est une très belle salle, avec des gens qui sont dévoués et nous aident beaucoup, c’est vraiment extraordinaire. On a fait une très bonne semaine d’entraînement à Rouen, dans d'excellentes conditions, on ne peut pas faire mieux pour se préparer", commente ainsi le sélectionneur.
Hasard du destin, l’équipe de France attaque sa saison internationale face à l’adversaire contre lequel elle avait achevé la précédente, à savoir l’Iran, qui l’avait battue 3-2 au Japon en clôture de la World Grand Champions Cup. Un adversaire qui la devance d’un rang au classement mondial (8e contre 9e) et qui possède en Marouf un passeur aux doigts de fée. "C’est une équipe très performante qui s’appuie sur un jeu très rapide avec des joueurs très dynamiques, c’est vraiment un beau challenge", poursuit Laurent Tillie, tandis que le capitaine Benjamin Toniutti ajoute : "Depuis 2014, l’Iran fait partie du top mondial, c’est l’équipe la plus forte de la poule, avec Marouf, un des meilleurs passeurs du monde, très compliqué à suivre, il va falloir mettre beaucoup de pression avec notre service pour l’empêcher de jouer, on s’attend à un gros match".
"Le fait de jouer tous ces matches à la maison constitue une belle préparation pour l’Euro 2019"
Un gros match en perspective pour une équipe de France qui, dans la mesure où la Finale à six de la Volleyball Nations League se dispute sur son sol, au stade Pierre-Mauroy de Lille (4-8 juillet), est qualifiée d’office pour ce tournoi final, qui réunira également les cinq équipes les mieux classées après la phase de poules parmi les quinze autres sélections engagées sur cette nouvelle compétition internationale. Le groupe aborde-t-il du coup cette Volleyball Nations League, dont la phase de poules s'étire sur cinq week-ends (trois matchs par équipe à chaque fois), avec moins de pression ? "On a moins la pression des résultats chaque week-end, mais nous avons l’objectif de bien préparer ce Final Six, répond Benjamin Toniuti. C’est la première fois que nous avons cette opportunité d’être qualifiés d’office, il faut l’utiliser au mieux pour arriver dans les meilleures conditions physiques, mentales et techniques à Lille".
De son côté, Laurent Tillie ajoute : "On pourrait se dire qu’on est un peu plus relax, mais pas vraiment, parce qu’on joue en France, on a donc a envie de performer". Cette donne a effectivement son importance pour des Bleus vainqueurs du Japon lundi dernier en amical à Caen (3-2), match au cours duquel ils ont ont eu un avant-goût du soutien populaire qui les attend ce week-end à Rouen (ils affronteront ensuite ces mêmes Japonais samedi puis l’Australie dimanche), puis à Aix-en-Provence, où ils accueilleront une nouvelle poule (8-10 juin), avant le final lillois.
"C’est vachement excitant, surtout que nos dernières prestations en France se sont super bien passées avec le public, il y avait une ambiance de fou, que ce soit le TQCM à Lyon l’année dernière ou la World League à Pau. On se rend compte qu’avec nos résultats qui continuent à exister, on a un public qui s’étoffe de plus en plus. Le fait d’avoir trois rendez-vous de la Volleyball Nations League en France, c’est un vrai plaisir et ça nous motive, on a envie de rendre nos supporters heureux et de nous faire plaisir sur le terrain", confirme le central Nicolas Le Goff, tandis que son capitaine conclut : "Le fait de jouer tous ces matches à la maison constitue une belle préparation pour l’Euro 2019, c’est parfait que ça tombe un an avant, en 2018. Il faut utiliser ces moments-là pour apprendre à se servir de notre public, comme nous l’avions fait l’année dernière à Pau, ce qui nous avait aidés à gagner nos trois matchs". Cela sera-t-il également le cas à Rouen ? Début de réponse dès vendredi soir..
Hasard du destin, l’équipe de France attaque sa saison internationale face à l’adversaire contre lequel elle avait achevé la précédente, à savoir l’Iran, qui l’avait battue 3-2 au Japon en clôture de la World Grand Champions Cup. Un adversaire qui la devance d’un rang au classement mondial (8e contre 9e) et qui possède en Marouf un passeur aux doigts de fée. "C’est une équipe très performante qui s’appuie sur un jeu très rapide avec des joueurs très dynamiques, c’est vraiment un beau challenge", poursuit Laurent Tillie, tandis que le capitaine Benjamin Toniutti ajoute : "Depuis 2014, l’Iran fait partie du top mondial, c’est l’équipe la plus forte de la poule, avec Marouf, un des meilleurs passeurs du monde, très compliqué à suivre, il va falloir mettre beaucoup de pression avec notre service pour l’empêcher de jouer, on s’attend à un gros match".
"Le fait de jouer tous ces matches à la maison constitue une belle préparation pour l’Euro 2019"
Un gros match en perspective pour une équipe de France qui, dans la mesure où la Finale à six de la Volleyball Nations League se dispute sur son sol, au stade Pierre-Mauroy de Lille (4-8 juillet), est qualifiée d’office pour ce tournoi final, qui réunira également les cinq équipes les mieux classées après la phase de poules parmi les quinze autres sélections engagées sur cette nouvelle compétition internationale. Le groupe aborde-t-il du coup cette Volleyball Nations League, dont la phase de poules s'étire sur cinq week-ends (trois matchs par équipe à chaque fois), avec moins de pression ? "On a moins la pression des résultats chaque week-end, mais nous avons l’objectif de bien préparer ce Final Six, répond Benjamin Toniuti. C’est la première fois que nous avons cette opportunité d’être qualifiés d’office, il faut l’utiliser au mieux pour arriver dans les meilleures conditions physiques, mentales et techniques à Lille".
De son côté, Laurent Tillie ajoute : "On pourrait se dire qu’on est un peu plus relax, mais pas vraiment, parce qu’on joue en France, on a donc a envie de performer". Cette donne a effectivement son importance pour des Bleus vainqueurs du Japon lundi dernier en amical à Caen (3-2), match au cours duquel ils ont ont eu un avant-goût du soutien populaire qui les attend ce week-end à Rouen (ils affronteront ensuite ces mêmes Japonais samedi puis l’Australie dimanche), puis à Aix-en-Provence, où ils accueilleront une nouvelle poule (8-10 juin), avant le final lillois.
"C’est vachement excitant, surtout que nos dernières prestations en France se sont super bien passées avec le public, il y avait une ambiance de fou, que ce soit le TQCM à Lyon l’année dernière ou la World League à Pau. On se rend compte qu’avec nos résultats qui continuent à exister, on a un public qui s’étoffe de plus en plus. Le fait d’avoir trois rendez-vous de la Volleyball Nations League en France, c’est un vrai plaisir et ça nous motive, on a envie de rendre nos supporters heureux et de nous faire plaisir sur le terrain", confirme le central Nicolas Le Goff, tandis que son capitaine conclut : "Le fait de jouer tous ces matches à la maison constitue une belle préparation pour l’Euro 2019, c’est parfait que ça tombe un an avant, en 2018. Il faut utiliser ces moments-là pour apprendre à se servir de notre public, comme nous l’avions fait l’année dernière à Pau, ce qui nous avait aidés à gagner nos trois matchs". Cela sera-t-il également le cas à Rouen ? Début de réponse dès vendredi soir..
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