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05/06/2018
Golden European League : Finir en beauté
L’équipe de France féminine achève mercredi la phase de poules de la Golden European League par la réception de la Croatie à Vandoeuvre-lès-Nancy. Les filles de Félix André ont à cœur de terminer cette phase de poules par une victoire.
Après la Hongrie et la Finlande, c’est au tour de la Croatie de visiter mercredi soir le Palais des Sports des Nations de Vandoeuvre-lès-Nancy pour défier la France à l’occasion de la dernière des six journées de la poule B de la nouvelle Golden European League. Une poule dominée au terme de la 5e journée par la Finlande devant la Hongrie, cette dernière étant qualifiée d’office pour le Final Four de la compétition, puisqu’elle en est le pays organisateur.
L’équipe de France, dernière de la poule, ne sera pas de la fête, mais ce n’est pas une surprise dans la mesure où le responsable du projet féminin, Emile Rousseaux, et son adjoint Félix André, ont d’entrée annoncé que la Golden European League servirait de revue d’effectif pour leur permettre de voir à l’œuvre de nombreuses jeunes joueuses françaises, certaines n’ayant pas encore joué en professionnel et encore moins en sélection, dans le cadre du projet Génération 2024.
Cet objectif restera celui de Félix André, qui dirige les Bleues sur cette Golden European League, face à la Croatie mercredi : "Cette compétition sert toujours de revue pour avoir une vision claire des joueuses qui peuvent rentrer dans notre projet 2024. C’est le pari que nous avons fait et nous allons continuer dans cette logique sur ce match, en espérant que cette dernière sortie nous permettra de monter encore en puissance et de progresser par rapport aux deux précédents de la phase retour".
Une phase retour, disputée à Vandoeuvre-lès-Nancy, qui a vu les partenaires de la capitaine Juliette Fidon s’incliner mercredi et samedi derniers contre la Hongrie et la Finlande, faute de constance : "Sur ces matchs, on voit que nous sommes capables d’exister à haut niveau et de rivaliser face à des collectif bien huilés, mais seulement par séquences et de façon tellement irrégulière que ça ne peut pas payer", analyse Félix André. En tout cas pour l’instant, puisque les Françaises ne sont pas parvenues à gagner sur cette Golden European League.
Autant dire qu’elles auront à cœur mercredi d’achever la compétition par un succès qui ferait du bien au moral des jeunes Bleues, mais également du staff. "Quand on est compétiteur et que les résultats ne sont pas là, il y a forcément de la frustration pour les joueuses et le staff. Compte tenu de nos objectifs, nous savions que nous serions en difficulté sur cette compétition pour performer immédiatement, mais cela ne veut pas dire que face aux Croates, les joueuses ne vont pas rentrer sur le terrain avec un mental de guerrières pour aller chercher la victoire", conclut l'entraîneur tricolore.
L’équipe de France, dernière de la poule, ne sera pas de la fête, mais ce n’est pas une surprise dans la mesure où le responsable du projet féminin, Emile Rousseaux, et son adjoint Félix André, ont d’entrée annoncé que la Golden European League servirait de revue d’effectif pour leur permettre de voir à l’œuvre de nombreuses jeunes joueuses françaises, certaines n’ayant pas encore joué en professionnel et encore moins en sélection, dans le cadre du projet Génération 2024.
Cet objectif restera celui de Félix André, qui dirige les Bleues sur cette Golden European League, face à la Croatie mercredi : "Cette compétition sert toujours de revue pour avoir une vision claire des joueuses qui peuvent rentrer dans notre projet 2024. C’est le pari que nous avons fait et nous allons continuer dans cette logique sur ce match, en espérant que cette dernière sortie nous permettra de monter encore en puissance et de progresser par rapport aux deux précédents de la phase retour".
Une phase retour, disputée à Vandoeuvre-lès-Nancy, qui a vu les partenaires de la capitaine Juliette Fidon s’incliner mercredi et samedi derniers contre la Hongrie et la Finlande, faute de constance : "Sur ces matchs, on voit que nous sommes capables d’exister à haut niveau et de rivaliser face à des collectif bien huilés, mais seulement par séquences et de façon tellement irrégulière que ça ne peut pas payer", analyse Félix André. En tout cas pour l’instant, puisque les Françaises ne sont pas parvenues à gagner sur cette Golden European League.
Autant dire qu’elles auront à cœur mercredi d’achever la compétition par un succès qui ferait du bien au moral des jeunes Bleues, mais également du staff. "Quand on est compétiteur et que les résultats ne sont pas là, il y a forcément de la frustration pour les joueuses et le staff. Compte tenu de nos objectifs, nous savions que nous serions en difficulté sur cette compétition pour performer immédiatement, mais cela ne veut pas dire que face aux Croates, les joueuses ne vont pas rentrer sur le terrain avec un mental de guerrières pour aller chercher la victoire", conclut l'entraîneur tricolore.
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