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24/06/2018
VNL : Les Bleus finissent en apothéose
L'équipe de France a achevé en beauté la phase de poules de la Volleyball Nations League en battant la Russie dimanche à Modène en trois sets (25-20, 25-13, 25-18) au terme d'une partie survolée. Elle termine première de cette phase de poules, de quoi aborder en confiance les Finales dans dix jours à Lille Métropole !
Une démonstration pour terminer ! Sitôt entérinée leur défaite face à l’Italie samedi (3-0), les Bleus avaient affiché leur intention de laver l’affront et d’offrir un meilleur visage face à la Russie ce dimanche, toujours à Modène, pour le tout dernier match de la phase de poules de la Volleyball Nations League. Mission accomplie et avec la manière, puisque les hommes de Laurent Tillie ont infligé un sévère revers aux champions d’Europe qui venaient pourtant de passer deux fois 3-0 à l’Italie et aux Etats-Unis.
Certes, pour ce quinzième et dernier match, Sergei Shliapnikov, le coach russe, peut-être pour brouiller les pistes en vue des Finales de Lille, avait décidé d’aligner son deuxième six, ce qui explique en partie les nombreuses fautes commises par ses joueurs (24, quasiment l’équivalent d’un set, contre 12), mais cela n’a pas empêché les Tricolores de faire preuve de sérieux tout le temps, de panache souvent, à l’image d’Earvin Ngapeth (13 points, à 11/19), concluant d’une puissante attaque au centre cette partie dans « son » PalaPanini de Modène, ou de Kevin Le Roux, décisif au bloc (5 des 10 blocs français, mais aussi 3 aces pour 12 points au total).
Longtemps indécis (17-17), le premier set s’est décanté en approche de money-time sous la forme d’une nette accélération française, sous la houlette d’un Kevin Tillie précieux et d’un Stephen Boyer lui aussi décisif au bloc (3 sur ses 12 points), le pointu, justement au contre, permettant aux Bleus de virer en tête (25-20). La seconde manche sera un cavalier seul conclue par une « pipe » magistrale de Ngapeth (25-13), qui lancera d’un ace à 118 km/h la troisième, avant de se charger de plier la rencontre et cette phase de poules.
En terminant premiers devant la Russie avec 12 victoires pour 3 défaites, les Bleus ont largement rempli l’objectif que leur avait assigné Laurent Tillie, se qualifier sur le terrain pour les Finales (pour lesquelles la France était qualifiée d’office en tant que pays hôte), reste désormais le plus dur : réussir ces Finales devant leur public du stade Pierre-Mauroy (4-8 juillet). Des Finales qui accueilleront, outre les Français vainqueurs de la Ligue Mondiale 2015 et 2017, la Russie championne d’Europe, le Brésil champion olympique, les Etats-Unis troisièmes à Rio, la Pologne championne du monde et la Serbie, lauréate 2016 de la Ligue Mondiale. Bref, le gratin du volley mondial pour le premier sommet de cette saison internationale.
Certes, pour ce quinzième et dernier match, Sergei Shliapnikov, le coach russe, peut-être pour brouiller les pistes en vue des Finales de Lille, avait décidé d’aligner son deuxième six, ce qui explique en partie les nombreuses fautes commises par ses joueurs (24, quasiment l’équivalent d’un set, contre 12), mais cela n’a pas empêché les Tricolores de faire preuve de sérieux tout le temps, de panache souvent, à l’image d’Earvin Ngapeth (13 points, à 11/19), concluant d’une puissante attaque au centre cette partie dans « son » PalaPanini de Modène, ou de Kevin Le Roux, décisif au bloc (5 des 10 blocs français, mais aussi 3 aces pour 12 points au total).
Longtemps indécis (17-17), le premier set s’est décanté en approche de money-time sous la forme d’une nette accélération française, sous la houlette d’un Kevin Tillie précieux et d’un Stephen Boyer lui aussi décisif au bloc (3 sur ses 12 points), le pointu, justement au contre, permettant aux Bleus de virer en tête (25-20). La seconde manche sera un cavalier seul conclue par une « pipe » magistrale de Ngapeth (25-13), qui lancera d’un ace à 118 km/h la troisième, avant de se charger de plier la rencontre et cette phase de poules.
En terminant premiers devant la Russie avec 12 victoires pour 3 défaites, les Bleus ont largement rempli l’objectif que leur avait assigné Laurent Tillie, se qualifier sur le terrain pour les Finales (pour lesquelles la France était qualifiée d’office en tant que pays hôte), reste désormais le plus dur : réussir ces Finales devant leur public du stade Pierre-Mauroy (4-8 juillet). Des Finales qui accueilleront, outre les Français vainqueurs de la Ligue Mondiale 2015 et 2017, la Russie championne d’Europe, le Brésil champion olympique, les Etats-Unis troisièmes à Rio, la Pologne championne du monde et la Serbie, lauréate 2016 de la Ligue Mondiale. Bref, le gratin du volley mondial pour le premier sommet de cette saison internationale.
La réaction de Laurent Tillie, entraîneur de l’équipe de France : "Même si la Russie a fait tourner en jouant avec son deuxième six, nous nous sommes attachés sur ce match à retrouver du rythme après la défaite de samedi face à l’Italie. C’était un match agréable à voir et à jouer. Nous avons bien servi, nous les avons mis en difficulté et du coup, nous avons bien bloqué. Après, il n’y a pas vraiment eu de réaction en face, donc on a déroulé. C'est bien de terminer comme ça, maintenant, on sait que les Finales à Lille seront complètement différentes, mais on aura fait le maximum pour se préparer dans les meilleures conditions. On ne peut pas faire plus, que les Finales commencent !"
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