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07/06/2019
Golden League : Les Bleues veulent leur revanche
Dix jours après s’être inclinée à domicile à Tourcoing (2-3), l’équipe de France retrouve l’Autriche dimanche à Schwechat pour son quatrième match de la Golden European League, avec un groupe remanié mais une grosse soif de revanche.
Après une phase aller qui ne lui a pas souri (trois défaites, deux contre la Hongrie, une face à l’Autriche), l’équipe de France attaque la phase retour de la poule B de la Golden European League avec un nouveau triptyque composé d’un déplacement en Autriche ce dimanche à Schwechat (17h55), dans la banlieue de Vienne, puis de deux matchs contre la Croatie, mercredi prochain à Harnes, puis le 15 juin à Varazdin, où aura lieu une semaine plus tard le Final Four de la compétition.
Pour la formation tricolore, il n’est plus question de qualification, mais là n’était pas l’objectif de son sélectionneur Emile Rousseaux, qui souhaitait se servir de cette Golden League pour continuer à voir le maximum de joueuses dans le cadre du projet Génération 2024 et sans doute en tester quelques-unes en vue de l’objectif de l’été, l’EuroVolley 2019. C’est pourquoi pour cette phase retour, le Belge a changé une grande partie de son groupe, seules cinq joueuses étant encore de la partie, les centrales Léandra Olinga Andela et Chloé Mayer, la passeuse Nina Stojiljkovic, la jeune réceptionneuse-attaquante Lisa Jeanpierre et la pointue Lara Davidovic.
Les autres débuteront quant à elles dans la compétition, à savoir les passeuses Margaux Bouzinac et Pauline Martin, les réceptionneuses-attaquantes Odette Ndoye et Manon Moreels, les centrales Elsa Descamps et Constance Plat, les liberos Léa Soldner et Amandine Giardino, ainsi que la pointue Lucille Gicquel, qui sera l’arme offensive n°1 de cette équipe de France, forte d’une saison particulièrement réussie avec Nantes, finaliste du Championnat de Ligue A.
Forcément en manque de repères, ce groupe largement remanié tentera sur ces trois matchs de se montrer plus concentré que sur la phase aller, le manque de régularité étant le talon d’Achille de cette jeune équipe de France. "Il nous manque de la constance, de respecter les consignes du début à la fin du match. Souvent, on débute bien, parce que nous avons envie de bien faire, mais à un moment, on se dissipe un peu et on le paie à chaque fois très cher", confirme Léandra Olinga Andela qui garde en travers de la gorge le match aller face à l’Autriche, perdu au tie-break : "Nous avions bien démarré, nous menions 2 sets à 0, puis 13-9 dans le tie-break, avant de perdre un peu bêtement. Si on parvient samedi à rester plus concentrées, je pense qu’on peut y arriver, on aura en tout cas un sentiment de revanche contre cette équipe."
Les 14 pour la deuxième phase de la Golden European League :
Passeuses : Nina Stojiljkovic (Quimper), Margaux Bouzinac (Terville-Florange), Pauline Martin (HPK Hameenlinna/Finlande)
Réceptionneuses-attaquantes : Lisa Jeanpierre (Mulhouse), Odette Ndoye (Nantes), Manon Moreels (IFVB)
Centrales : Léandra Olinga Andela (Mulhouse), Chloé Mayer (Vandoeuvre-Nancy), Elsa Descamps (UN Las Vegas/Etats-Unis) Constance Plat (Evreux)
Liberos : Léa Soldner (Mulhouse), Amandine Giardino (Le Cannet)
Pointues : Lucille Gicquel (Nantes), Lara Davidovic (Stade Français Paris-Saint-Cloud)
Pour la formation tricolore, il n’est plus question de qualification, mais là n’était pas l’objectif de son sélectionneur Emile Rousseaux, qui souhaitait se servir de cette Golden League pour continuer à voir le maximum de joueuses dans le cadre du projet Génération 2024 et sans doute en tester quelques-unes en vue de l’objectif de l’été, l’EuroVolley 2019. C’est pourquoi pour cette phase retour, le Belge a changé une grande partie de son groupe, seules cinq joueuses étant encore de la partie, les centrales Léandra Olinga Andela et Chloé Mayer, la passeuse Nina Stojiljkovic, la jeune réceptionneuse-attaquante Lisa Jeanpierre et la pointue Lara Davidovic.
Les autres débuteront quant à elles dans la compétition, à savoir les passeuses Margaux Bouzinac et Pauline Martin, les réceptionneuses-attaquantes Odette Ndoye et Manon Moreels, les centrales Elsa Descamps et Constance Plat, les liberos Léa Soldner et Amandine Giardino, ainsi que la pointue Lucille Gicquel, qui sera l’arme offensive n°1 de cette équipe de France, forte d’une saison particulièrement réussie avec Nantes, finaliste du Championnat de Ligue A.
Forcément en manque de repères, ce groupe largement remanié tentera sur ces trois matchs de se montrer plus concentré que sur la phase aller, le manque de régularité étant le talon d’Achille de cette jeune équipe de France. "Il nous manque de la constance, de respecter les consignes du début à la fin du match. Souvent, on débute bien, parce que nous avons envie de bien faire, mais à un moment, on se dissipe un peu et on le paie à chaque fois très cher", confirme Léandra Olinga Andela qui garde en travers de la gorge le match aller face à l’Autriche, perdu au tie-break : "Nous avions bien démarré, nous menions 2 sets à 0, puis 13-9 dans le tie-break, avant de perdre un peu bêtement. Si on parvient samedi à rester plus concentrées, je pense qu’on peut y arriver, on aura en tout cas un sentiment de revanche contre cette équipe."
Les 14 pour la deuxième phase de la Golden European League :
Passeuses : Nina Stojiljkovic (Quimper), Margaux Bouzinac (Terville-Florange), Pauline Martin (HPK Hameenlinna/Finlande)
Réceptionneuses-attaquantes : Lisa Jeanpierre (Mulhouse), Odette Ndoye (Nantes), Manon Moreels (IFVB)
Centrales : Léandra Olinga Andela (Mulhouse), Chloé Mayer (Vandoeuvre-Nancy), Elsa Descamps (UN Las Vegas/Etats-Unis) Constance Plat (Evreux)
Liberos : Léa Soldner (Mulhouse), Amandine Giardino (Le Cannet)
Pointues : Lucille Gicquel (Nantes), Lara Davidovic (Stade Français Paris-Saint-Cloud)