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11/06/2019
Golden League : La Croatie pour finir
L’équipe de France achève cette semaine la phase de poules de la European Golden League par deux matchs contre la Croatie, le premier mercredi à Harnes (20h). Un adversaire redoutable que les Bleues avaient cependant battu il y a un an.
Comme l’année dernière pour la première édition de la European Golden League, l’équipe de France achève la phase de poules face à la Croatie. En 2018, les Bleues avaient réussi à assurer leur maintien sur l’ultime rencontre, victorieuses 3-1 des Croates à Vandoeuvre-lès-Nancy, grâce notamment à un très gros match d’Helena Cazaute (32 points). Cette année, en l’absence de la néo-Mulhousienne - ménagée, elle ne figure pas dans le groupe retenu par Emile Rousseaux pour la deuxième partie de la compétition -, ses partenaires en sélection vont tenter de relever le défi de faire chuter une formation qui, depuis le début de la poule B, est invaincue, victorieuse deux fois de la Hongrie et de l’Autriche, contre lesquelles l’équipe de France a de son côté chuté.
"Sur les deux derniers matchs, la priorité sera de retrouver le goût de la victoire et aussi de se maintenir en Golden League, ça se jouera sans doute jusqu'à la dernière journée contre une équipe de Croatie qui a pour l'instant tout gagné", explique Manu Fouchet, le manager de l’équipe de France. Avec quatre défaites, les Bleues ne sont en effet pas assurées du maintien en Golden League, pour l’instant 10e sur 12 du classement virtuel de la compétition devant l’Azerbaïdjan et la Suède qu’elles ne devancent qu'au set-average, seul le dernier descendant en Silver League. Le meilleur moyen pour se maintenir sans compter sur les défaites des autres serait donc de remporter au moins un des deux derniers matchs face à la Croatie, mercredi à la Salle régionale Maréchal de Harnes (20h) ou samedi prochain à Varzadin, théâtre une semaine plus tard du Final Four de la Golden League.
Une tâche ardue pour une équipe de France composée de nombreuses jeunes qui, pour certaines, découvrent le niveau international, l’objectif d’Emile Rousseaux sur cette compétition étant justement de les mettre en situation dans le cadre du projet Génération 2024 qui vise à détecter les joueuses qui participeront à l'olympiade post-Tokyo. La tâche sera d’autant plus ardue que la formation croate, 11e au classement européen (la France est 16e), s’appuie sur une des meilleures joueuses du continent, la pointue Samanta Fabris (auteure de 26 points le week-end dernier face à la Hongrie), double championne d’Italie en titre avec Imoco Conegliano et finaliste cette saison de la Ligue des champions. Les Bleues avaient su faire fi de sa présence (elle avait tout de même marqué 27 points) il y a un an pour s’imposer en quatre sets, sauront-elles rééditer cette performance ? Réponse mercredi et/ou samedi.
"Sur les deux derniers matchs, la priorité sera de retrouver le goût de la victoire et aussi de se maintenir en Golden League, ça se jouera sans doute jusqu'à la dernière journée contre une équipe de Croatie qui a pour l'instant tout gagné", explique Manu Fouchet, le manager de l’équipe de France. Avec quatre défaites, les Bleues ne sont en effet pas assurées du maintien en Golden League, pour l’instant 10e sur 12 du classement virtuel de la compétition devant l’Azerbaïdjan et la Suède qu’elles ne devancent qu'au set-average, seul le dernier descendant en Silver League. Le meilleur moyen pour se maintenir sans compter sur les défaites des autres serait donc de remporter au moins un des deux derniers matchs face à la Croatie, mercredi à la Salle régionale Maréchal de Harnes (20h) ou samedi prochain à Varzadin, théâtre une semaine plus tard du Final Four de la Golden League.
Une tâche ardue pour une équipe de France composée de nombreuses jeunes qui, pour certaines, découvrent le niveau international, l’objectif d’Emile Rousseaux sur cette compétition étant justement de les mettre en situation dans le cadre du projet Génération 2024 qui vise à détecter les joueuses qui participeront à l'olympiade post-Tokyo. La tâche sera d’autant plus ardue que la formation croate, 11e au classement européen (la France est 16e), s’appuie sur une des meilleures joueuses du continent, la pointue Samanta Fabris (auteure de 26 points le week-end dernier face à la Hongrie), double championne d’Italie en titre avec Imoco Conegliano et finaliste cette saison de la Ligue des champions. Les Bleues avaient su faire fi de sa présence (elle avait tout de même marqué 27 points) il y a un an pour s’imposer en quatre sets, sauront-elles rééditer cette performance ? Réponse mercredi et/ou samedi.