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28/09/2023
Beach Pro Tour Paris : Les Bleu(e)s battue(e)s
La journée de jeudi sur la phase de poules du Beach Pro Tour Elite 16 de Paris à Roland-Garros n’a pas souri aux paires tricolores, toutes battues. Elles tenteront de se reprendre vendredi pour sortir de leurs poules respectives.
Premiers Français à entrer en lice sur le court Philippe-Chatrier, Rémi Bassereau et Julien Lyneel ont perdu le premier de leurs trois matchs de la poule C face aux Tchèques Ondrej Perusic/David Schweiner, têtes de série n°3. Une défaite en deux sets (21-15, 21-11) pour ceux dont le dernier match en compétition remontait à fin avril dernier, Julien Lyneel ayant été blessé au dos. "C’est notre premier match après quatre mois sans compétition, le score est lourd, on aurait évidemment préféré commencer le tournoi avec un autre score, mais il faut reprendre le rythme, physiquement et dans la tête, a confié ce dernier. Eux savaient où appuyer pour faire mal, ils savaient aussi qu’on était en manque de rythme, ça fait partie du jeu, c’est le très haut niveau."
Pour autant, l’ancien joueur de l’équipe de France en salle ajoutait, à propos des deux autres matchs de la poule C à venir vendredi contre les Autrichiens Julien Hörl/Alexander Horst puis face aux Italiens Samuele Cottafava/Paolo Nicolai : "Je n’ai pas envie d’être pessimiste, on savait que ça allait être dur, mais on va continuer à travailler pour arriver à nos objectifs, on va se concentrer sur les matchs de demain, il n’y a pas de calcul à faire."
Toujours dans le tableau masculin, Youssef Krou et Arnaud Gauthier-Rat ont de leur côté été dominés, là aussi en deux sets (21-14, 21-13), par les Brésiliens Pedro Solberg/Guto. "C’est dur, mais ça peut arriver, ça fait huit semaines que je n’ai pas joué au beach-volley avec Arnaud, c’est long", a commenté le premier, qui revenait de blessure, tandis que son compère a poursuivi : "Il faut se donner le droit à l’erreur, on aurait évidemment préféré faire une meilleure prestation que celle-là, mais il nous reste deux matchs demain pour aller chercher un huitième puis un quart de finale, on est encore dans le jeu. On a été dans des situations pires que celle-là et on a réussi à en sortir de bons résultats." Ce qu’il faudra donc parvenir à faire vendredi dans la poule D, d’abord contre les Italiens Alex Rangheri/Adrian Carambula, ensuite face aux redoutables Néerlandais Alexander Brouwer/Robert Meeuwsen.
Du côté féminin, Lézana Placette et Alexia Richard s’attendaient elles aussi à une entame compliquée contre les têtes de série n°4, les Allemandes Svenja Müller/Cinja Tillmann, elles ont été battues en deux manches (21-17, 21-12), confiant à leur sortie du court : "On a réussi à les mettre en difficulté sur le premier set, on mène à un moment de deux points, mais on a ensuite un down en side-out (phase de réception), on manque un peu d’intention, les 5% qui font qu’elles ramènent les ballons du bout des doigts au lieu qu’il aille par terre. Contre ce genre d’équipe, ça ne pardonne pas, elles ont très bien joué, monté leur niveau pendant tout le match, ce que nous n’avons pas vraiment réussi faire. On s’est quand même fait plaisir et on a hâte de rejouer demain. On va essayer de combler les petits pépins d’aujourd’hui, ils ne sont pas techniques, c’est plus au niveau de la confiance qui peut parfois un peu vaciller. Mais on y va sereines, tout est possible, l’objectif est de passer la phase de poules, on va essayer de faire ce qu’il faut et de se faire plaisir."
A leur programme vendredi ? Une autre paire allemande, composée de Laura Ludwig et Louisa Lippmann, puis les Américaines Sara Hughes/Kelly Cheng.
Pour autant, l’ancien joueur de l’équipe de France en salle ajoutait, à propos des deux autres matchs de la poule C à venir vendredi contre les Autrichiens Julien Hörl/Alexander Horst puis face aux Italiens Samuele Cottafava/Paolo Nicolai : "Je n’ai pas envie d’être pessimiste, on savait que ça allait être dur, mais on va continuer à travailler pour arriver à nos objectifs, on va se concentrer sur les matchs de demain, il n’y a pas de calcul à faire."
Toujours dans le tableau masculin, Youssef Krou et Arnaud Gauthier-Rat ont de leur côté été dominés, là aussi en deux sets (21-14, 21-13), par les Brésiliens Pedro Solberg/Guto. "C’est dur, mais ça peut arriver, ça fait huit semaines que je n’ai pas joué au beach-volley avec Arnaud, c’est long", a commenté le premier, qui revenait de blessure, tandis que son compère a poursuivi : "Il faut se donner le droit à l’erreur, on aurait évidemment préféré faire une meilleure prestation que celle-là, mais il nous reste deux matchs demain pour aller chercher un huitième puis un quart de finale, on est encore dans le jeu. On a été dans des situations pires que celle-là et on a réussi à en sortir de bons résultats." Ce qu’il faudra donc parvenir à faire vendredi dans la poule D, d’abord contre les Italiens Alex Rangheri/Adrian Carambula, ensuite face aux redoutables Néerlandais Alexander Brouwer/Robert Meeuwsen.
Du côté féminin, Lézana Placette et Alexia Richard s’attendaient elles aussi à une entame compliquée contre les têtes de série n°4, les Allemandes Svenja Müller/Cinja Tillmann, elles ont été battues en deux manches (21-17, 21-12), confiant à leur sortie du court : "On a réussi à les mettre en difficulté sur le premier set, on mène à un moment de deux points, mais on a ensuite un down en side-out (phase de réception), on manque un peu d’intention, les 5% qui font qu’elles ramènent les ballons du bout des doigts au lieu qu’il aille par terre. Contre ce genre d’équipe, ça ne pardonne pas, elles ont très bien joué, monté leur niveau pendant tout le match, ce que nous n’avons pas vraiment réussi faire. On s’est quand même fait plaisir et on a hâte de rejouer demain. On va essayer de combler les petits pépins d’aujourd’hui, ils ne sont pas techniques, c’est plus au niveau de la confiance qui peut parfois un peu vaciller. Mais on y va sereines, tout est possible, l’objectif est de passer la phase de poules, on va essayer de faire ce qu’il faut et de se faire plaisir."
A leur programme vendredi ? Une autre paire allemande, composée de Laura Ludwig et Louisa Lippmann, puis les Américaines Sara Hughes/Kelly Cheng.