HOME
Actualités FFvolley | ||
<< VNL : Les Bleues tombent avec les honneurs | Voir tout | VNL : Les Bleues battues de justesse >> |
Nations Cup : Les Bleus en quête d’un deuxième quota olympique
La finale de la Nations Cup européenne se déroule de jeudi à dimanche à Jurmala (Lettonie), avec un gros enjeu, puisque le vainqueur de la compétition décrochera un quota olympique pour les Jeux de Paris 2024. L’équipe de France masculine attaque la phase de poules jeudi en affrontant l’Allemagne, avant de jouer vendredi face à la Lituanie.
Auparavant appelée Continental Cup, la Nations Cup est l’unique compétition internationale de beach-volley par équipes nationales, un peu comme la Coupe Davis en tennis. Elle a cette année un enjeu majeur, puisque les pays vainqueurs de l’épreuve sur les cinq continents décrocheront les cinq derniers quotas olympiques attribués pour les JO de Paris 2024.
L’équipe de France féminine ne sera pas de la partie, puisque le duo Lézana Placette/Alexia Richard a réussi la performance d’offrir un second quota à la France – en plus de celui attribué au titre du pays organisateur – via le ranking olympique, figé depuis le week-end dernier à l’issue du Beach Pro Tour Elite 16 d’Ostrava. Ce qui signifie que deux duos féminins – a priori ces dernières, plus Aline Chamereau/Clémence Vieira, sous réserve d’officialisation de leur sélection par le CNOSF - défendront les couleurs tricolores au pied de la Tour Eiffel dans un peu plus d’un mois.
Les hommes, en revanche, n’ont pas réussi à décrocher ce second quota via le ranking, ils se présentent donc à Jurmala avec l’ambition de remporter cette Nations Cup. Ce qui est également le cas des onze autres pays finalistes, ce qui promet des débats particulièrement intenses sur le sable letton. La formule est simple : dans chacune des quatre poules, les trois équipes s’affrontent une fois – chaque match est composé de deux duels, avec un set en or en cas d’égalité une victoire partout -, les deux premiers de chaque poule se qualifient pour les quarts de finale, avant les demi-finales et la grande finale. "On va chercher le ticket olympique, c’est clair, commente Christophe Victor, responsable du secteur beach-volley à la Fédération Française de Volley, mais on sait que certains pays sont aussi très bien armés, comme les Autrichiens, les Suisses et les Allemands qu’on affronte jeudi. L’issue de ce tournoi va beaucoup dépendre de la forme du moment, mais aussi de la gestion de la pression et du stress sur cette compétition à gros enjeu."
L’équipe de France est composée de deux paires, la première composée de Julien Lyneel et Rémi Bassereau, la seconde d’Arnaud Gauthier-Rat et du jeune Téo Rotar, qui remplace Youssef Krou, touché au poignet. Elle figure dans la poule B en compagnie de l’Allemagne et de la Lituanie. Julien Lyneel et Rémi Bassereau ouvriront le bal jeudi après-midi par un affrontement face aux Allemands Paul Henning/Bennet Poniewaz, Arnaud Gauthier-Rat et Téo Rotar leur succéderont contre le duo Lukas Pfretzschner/Swen Winter, avec un set en or entre une paire choisie par les entraîneurs des deux équipes en cas d’égalité. Vendredi, place au match face à la Lituanie avec des oppositions Julien Lyneel/Rémi Bassereau contre Robert Juchnevic/Artur Vasiljev et Arnaud Gauthier-Rat/Téo Rotar face à Audrius Knasas/Patrikas Stankevicius. Les quarts sont prévus samedi, les demi-finales et la finale dimanche.
L’équipe de France féminine ne sera pas de la partie, puisque le duo Lézana Placette/Alexia Richard a réussi la performance d’offrir un second quota à la France – en plus de celui attribué au titre du pays organisateur – via le ranking olympique, figé depuis le week-end dernier à l’issue du Beach Pro Tour Elite 16 d’Ostrava. Ce qui signifie que deux duos féminins – a priori ces dernières, plus Aline Chamereau/Clémence Vieira, sous réserve d’officialisation de leur sélection par le CNOSF - défendront les couleurs tricolores au pied de la Tour Eiffel dans un peu plus d’un mois.
Les hommes, en revanche, n’ont pas réussi à décrocher ce second quota via le ranking, ils se présentent donc à Jurmala avec l’ambition de remporter cette Nations Cup. Ce qui est également le cas des onze autres pays finalistes, ce qui promet des débats particulièrement intenses sur le sable letton. La formule est simple : dans chacune des quatre poules, les trois équipes s’affrontent une fois – chaque match est composé de deux duels, avec un set en or en cas d’égalité une victoire partout -, les deux premiers de chaque poule se qualifient pour les quarts de finale, avant les demi-finales et la grande finale. "On va chercher le ticket olympique, c’est clair, commente Christophe Victor, responsable du secteur beach-volley à la Fédération Française de Volley, mais on sait que certains pays sont aussi très bien armés, comme les Autrichiens, les Suisses et les Allemands qu’on affronte jeudi. L’issue de ce tournoi va beaucoup dépendre de la forme du moment, mais aussi de la gestion de la pression et du stress sur cette compétition à gros enjeu."
L’équipe de France est composée de deux paires, la première composée de Julien Lyneel et Rémi Bassereau, la seconde d’Arnaud Gauthier-Rat et du jeune Téo Rotar, qui remplace Youssef Krou, touché au poignet. Elle figure dans la poule B en compagnie de l’Allemagne et de la Lituanie. Julien Lyneel et Rémi Bassereau ouvriront le bal jeudi après-midi par un affrontement face aux Allemands Paul Henning/Bennet Poniewaz, Arnaud Gauthier-Rat et Téo Rotar leur succéderont contre le duo Lukas Pfretzschner/Swen Winter, avec un set en or entre une paire choisie par les entraîneurs des deux équipes en cas d’égalité. Vendredi, place au match face à la Lituanie avec des oppositions Julien Lyneel/Rémi Bassereau contre Robert Juchnevic/Artur Vasiljev et Arnaud Gauthier-Rat/Téo Rotar face à Audrius Knasas/Patrikas Stankevicius. Les quarts sont prévus samedi, les demi-finales et la finale dimanche.