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09/01/2016
Le Goff : « On ne les laissera pas passer »
Auteur d’une prestation très solide (8 points) face à la Pologne, Nicolas Le Goff a contribué à la victoire 3-0 d’une équipe de France qui disputera dimanche la finale du Tournoi de qualification olympique face à la Russie. Le central des Bleus est prêt pour le rendez-vous…
Quel est votre sentiment après cette victoire sur la Pologne ?
Je suis super content, mais il ne faut pas faire trop exploser notre joie et s’éparpiller parce qu’il va falloir remettre ça contre la Russie, ça va être tout aussi dur, mais on est forcément satisfait après un match comme ça. Contre la Pologne, ce n’est pas un match comme les autres, parce qu’on joue contre une équipe où il y a des Français dans le staff, mais c’est surtout un match-couperet, ça passe ou ça casse, il y a forcément beaucoup de tension, on a su gérer la pression. Ce n’est pas un match comme les autres, mais on l’a gagné comme les autres, tant mieux…
Est-ce le genre de match où on apprend beaucoup ?
Oui, c’est d’ailleurs ce genre de match qui nous a fait grandir. Aux Championnats d’Europe 2013 et aux Championnats du monde 2014, lorsqu’on jouait des matches comme ça, on n’était pas forcément capables de les gagner parce qu’on était jeunes. Quand on commençait à prendre un peu l’eau en étant menés d’un ou deux points dans les fins de set, on n’arrivait pas à repasser devant, aujourd’hui on y arrive, c’est la preuve qu’on prend de l’expérience.
C’était un vrai match de costaud…
Oui, clairement. L’écart de niveau était super mince, ça s’est vraiment joué à l’envie et au mental, ça leur a vraiment fait mal de perdre les deux premiers sets, c’est ce qui les a fait plonger un peu au troisième.
Place maintenant aux Russes que vous avez battus mercredi, est-ce un avantage avant de jouer cette finale ?
Ça reste un avantage de les avoir battus, parce qu’on a l’ascendant psychologique, mais ce sont des joueurs d’expérience qui savent comment faire pour rebondir après une défaite quand ils rejouent la même équipe. Ils vont arriver déterminés, avec l’envie de prendre leur revanche, à nous de montrer qu’on ne les laissera pas passer.
Je suis super content, mais il ne faut pas faire trop exploser notre joie et s’éparpiller parce qu’il va falloir remettre ça contre la Russie, ça va être tout aussi dur, mais on est forcément satisfait après un match comme ça. Contre la Pologne, ce n’est pas un match comme les autres, parce qu’on joue contre une équipe où il y a des Français dans le staff, mais c’est surtout un match-couperet, ça passe ou ça casse, il y a forcément beaucoup de tension, on a su gérer la pression. Ce n’est pas un match comme les autres, mais on l’a gagné comme les autres, tant mieux…
Est-ce le genre de match où on apprend beaucoup ?
Oui, c’est d’ailleurs ce genre de match qui nous a fait grandir. Aux Championnats d’Europe 2013 et aux Championnats du monde 2014, lorsqu’on jouait des matches comme ça, on n’était pas forcément capables de les gagner parce qu’on était jeunes. Quand on commençait à prendre un peu l’eau en étant menés d’un ou deux points dans les fins de set, on n’arrivait pas à repasser devant, aujourd’hui on y arrive, c’est la preuve qu’on prend de l’expérience.
C’était un vrai match de costaud…
Oui, clairement. L’écart de niveau était super mince, ça s’est vraiment joué à l’envie et au mental, ça leur a vraiment fait mal de perdre les deux premiers sets, c’est ce qui les a fait plonger un peu au troisième.
Place maintenant aux Russes que vous avez battus mercredi, est-ce un avantage avant de jouer cette finale ?
Ça reste un avantage de les avoir battus, parce qu’on a l’ascendant psychologique, mais ce sont des joueurs d’expérience qui savent comment faire pour rebondir après une défaite quand ils rejouent la même équipe. Ils vont arriver déterminés, avec l’envie de prendre leur revanche, à nous de montrer qu’on ne les laissera pas passer.
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