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06/06/2023
VNL : Les Bleus attaquent par la Pologne
L’équipe de France masculine, tenante du titre, dispute mercredi à Nagoya son premier match de la Volleyball Nations League 2023 face à la Pologne. Pour l’occasion, Andrea Giani s’appuie sur un groupe largement remanié, l’occasion pour les nouveaux venus de se montrer au plus haut niveau international.
Après une campagne de VNL 2022 ponctuée d’une médaille d’or, la troisième dans la compétition (en incluant la Ligue Mondiale, dont la VNL est le prolongement) après celles conquises en 2015 et 2017, l’équipe de France débute sa saison internationale par un choc contre la Pologne, double championne du monde en 2014 et 2018, médaillée d’argent l’an dernier. Preuve de sa constance au plus haut niveau international, l’équipe désormais dirigée par l'expérimenté serbe Nikola Grbic a terminé sur le podium des trois dernières éditions de la VNL, troisième en 2019 et 2022, deuxième en 2021.
Et si, comme nombre de sélections dont les joueurs phares ont achevé leur saison en club tardivement, la Pologne ne se présente pas à Nagoya avec son équipe type, elle s’appuie tout de même sur quelques « tauliers » à même de poser des problèmes aux Bleus, avec notamment les réceptionneurs/attaquants Kamil Semeniuk et Arthur Szalpuk ou le central Mateusz Bienek.
Côté tricolore, Andrea Giani a lui aussi composé un groupe largement remanié, puisque sur les quatorze joueurs qui se sont envolés en fin de semaine dernière pour le Japon, on ne compte que deux champions olympiques, Kevin Tillie et le central Daryl Bultor. Le reste du groupe est constitué d’éléments déjà vus en A ou en A’ ces dernières saisons – Quentin Jouffroy, Théo Faure, Raphaël Corre, Timothée Carle, Médéric Henry, Benjamin Diez, Luka Basic – et de jeunes ou débutants, à l’instar du passeur parisien Kellian Motta Paes (fils de Mauricio Paes), d’un autre « fils de », le réceptionneur/attaquant Hilir Henno (dont le père Hubert a fait les belles heures de l’équipe de France au poste de libéro), du libéro de Tourcoing Thibault Loubeyre, de son coéquipier nordiste, le central Simon Roehrig, et du réceptionneur/attaquant de Toulouse, Antoine Pothron.
Un groupe new look donc, qui va permettre aux joueurs concernés de montrer ce qu’ils valent dans un contexte international relevé, puisque, après la Pologne, les Bleus affronteront la Chine, la Slovénie, deuxième des deux dernières éditions de l’EuroVolley et quatrième du Championnat du monde en septembre dernier, et le Japon, qui avait failli sortir la France en huitièmes de finale de ce même Mondial. "L’objectif sera de se qualifier pour le Final 8 en Pologne, mais pour moi, il y a un autre objectif tout aussi important, c’est de donner leur chance aux jeunes joueurs qui nous ont rejoints, ils vont découvrir le contexte international qui est différent, le but est de leur permettre d’élever leur niveau de jeu au contact de cette compétition", confiait Andrea Giani avant de s’envoler pour le Japon.
Avant d’ajouter : "Après, j’ai aussi demandé aux joueurs de trouver leur identité : c’est important que nous jouions chaque match à 100% de notre valeur. On a bien sûr besoin d’être au point techniquement et tactiquement, mais ce que je veux surtout, c’est des joueurs qui soient sur le terrain à 100% de leur potentiel." Autant dire que le sélectionneur italien des Bleus sera particulièrement attentif à l’état d’esprit affiché par cette équipe de France, qui a en outre un titre à défendre…
Et si, comme nombre de sélections dont les joueurs phares ont achevé leur saison en club tardivement, la Pologne ne se présente pas à Nagoya avec son équipe type, elle s’appuie tout de même sur quelques « tauliers » à même de poser des problèmes aux Bleus, avec notamment les réceptionneurs/attaquants Kamil Semeniuk et Arthur Szalpuk ou le central Mateusz Bienek.
Côté tricolore, Andrea Giani a lui aussi composé un groupe largement remanié, puisque sur les quatorze joueurs qui se sont envolés en fin de semaine dernière pour le Japon, on ne compte que deux champions olympiques, Kevin Tillie et le central Daryl Bultor. Le reste du groupe est constitué d’éléments déjà vus en A ou en A’ ces dernières saisons – Quentin Jouffroy, Théo Faure, Raphaël Corre, Timothée Carle, Médéric Henry, Benjamin Diez, Luka Basic – et de jeunes ou débutants, à l’instar du passeur parisien Kellian Motta Paes (fils de Mauricio Paes), d’un autre « fils de », le réceptionneur/attaquant Hilir Henno (dont le père Hubert a fait les belles heures de l’équipe de France au poste de libéro), du libéro de Tourcoing Thibault Loubeyre, de son coéquipier nordiste, le central Simon Roehrig, et du réceptionneur/attaquant de Toulouse, Antoine Pothron.
Un groupe new look donc, qui va permettre aux joueurs concernés de montrer ce qu’ils valent dans un contexte international relevé, puisque, après la Pologne, les Bleus affronteront la Chine, la Slovénie, deuxième des deux dernières éditions de l’EuroVolley et quatrième du Championnat du monde en septembre dernier, et le Japon, qui avait failli sortir la France en huitièmes de finale de ce même Mondial. "L’objectif sera de se qualifier pour le Final 8 en Pologne, mais pour moi, il y a un autre objectif tout aussi important, c’est de donner leur chance aux jeunes joueurs qui nous ont rejoints, ils vont découvrir le contexte international qui est différent, le but est de leur permettre d’élever leur niveau de jeu au contact de cette compétition", confiait Andrea Giani avant de s’envoler pour le Japon.
Avant d’ajouter : "Après, j’ai aussi demandé aux joueurs de trouver leur identité : c’est important que nous jouions chaque match à 100% de notre valeur. On a bien sûr besoin d’être au point techniquement et tactiquement, mais ce que je veux surtout, c’est des joueurs qui soient sur le terrain à 100% de leur potentiel." Autant dire que le sélectionneur italien des Bleus sera particulièrement attentif à l’état d’esprit affiché par cette équipe de France, qui a en outre un titre à défendre…
PROGRAMME ET RÉSULTATS DE LA VOLLEYBALL NATIONS LEAGUE À NAGOYA :
7 juin (11h) : Pologne/France
9 juin (6h10) : Chine/France
10 juin (5h40) : France/Slovénie
11 juin (12h10) : Japon/France
LES 14 JOUEURS :
Passeurs : Raphaël Corre (Chaumont), Kellian Motta Paes (Paris)
Réceptionneurs/attaquants : Kevin Tillie (Varsovie, Pologne), Antoine Pothron (Toulouse), Luka Basic (Piacenza, Italie), Timothée Carle (Berlin, Allemagne), Hilir Henno (UC Irvine, Etats-Unis)
Pointu : Théo Faure (Montpellier)
Centraux : Quentin Jouffroy (Narbonne), Simon Roehrig (Tourcoing), Daryl Bultor (Tourcoing), Médéric Henry (Le Plessis-Robinson)
Libéros : Thibault Loubeyre (Tourcoing), Benjamin Diez (Tours)
LE STAFF :
Entraineur : Andrea Giani
Entraîneur adjoint : Roberto Ciamarra
Entraineur adjoint : Loïc Geiler
Manager : Arnaud Josserand
Médecin : Josselin Laffond
Kinésithérapeute : Jean-Paul Andrea
Préparateurs physiques : Laurent Lecina et Théo Achard
Statisticien : Paolo Perrone
11 juin (12h10) : Japon/France
LES 14 JOUEURS :
Passeurs : Raphaël Corre (Chaumont), Kellian Motta Paes (Paris)
Réceptionneurs/attaquants : Kevin Tillie (Varsovie, Pologne), Antoine Pothron (Toulouse), Luka Basic (Piacenza, Italie), Timothée Carle (Berlin, Allemagne), Hilir Henno (UC Irvine, Etats-Unis)
Pointu : Théo Faure (Montpellier)
Centraux : Quentin Jouffroy (Narbonne), Simon Roehrig (Tourcoing), Daryl Bultor (Tourcoing), Médéric Henry (Le Plessis-Robinson)
Libéros : Thibault Loubeyre (Tourcoing), Benjamin Diez (Tours)
LE STAFF :
Entraineur : Andrea Giani
Entraîneur adjoint : Roberto Ciamarra
Entraineur adjoint : Loïc Geiler
Manager : Arnaud Josserand
Médecin : Josselin Laffond
Kinésithérapeute : Jean-Paul Andrea
Préparateurs physiques : Laurent Lecina et Théo Achard
Statisticien : Paolo Perrone
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